La liberté


AUJOURD’HUI, LA SEULE LÉGITIMITÉ
C’EST LA COMPÉTENCE…
… MAIS AUSSI L’ÉQUITÉ

La formation, c’est notre base, le socle profond de nos connaissances. Mais, elle nous donne simplement la permission d’exercer notre métier avec l’humilité la plus extrême, associée à une forte conviction d’apprendre encore. Elle n’est, en réalité, que la porte d’entrée de ce vaste champ d’expérience qu’est la médecine, qu’il faut soigneusement observer, comprendre, servir et entretenir pour aller sur le chemin de la compétence.

Aujourd’hui, la formation est un espace ouvert, infini, où les nouvelles technologies qui bouleversent nos sociétés, s’entrecroisent, s’entrechoquent parfois, mais se potentialisent souvent, grâce à l’exploitation des données, les datas, qui sont à notre disposition. C’est aussi la rupture avec des certitudes ou des acquisitions établies à jamais et parfois fausses. Cette «dysruptive thinking» génère l’innovation. Elle nourrit ce processus de la pensée d’aujourd’hui qui court et rebondit. La nouvelle médecine est totalement impliquée dans cette révolution qui avance très vite, silencieuse, parfois invisible, sans frontières et sans retour en arrière, mais elle est aussi transmission.

Nous ne pouvons plus « soigner » les patients comme avant. L’information circule, s’amplifie. Il faut expliquer ce que l’on fait, pourquoi, comment, avec quel résultat espéré.

Ainsi, la prise en charge médicale du patient a beaucoup évolué. Elle se transforme aussi, car face à ces « nouveaux patients » et leurs attentes, il y a les « nouveaux praticiens » qui, eux aussi, aspirent à une vie avec les mêmes droits que les autres, même s’ils assument leurs devoirs, mais différemment. Il faut donc une nouvelle organisation, de nouvelles structures, de nouvelles technologies qui permettent de les accorder.

L’échelle du temps de la prise en charge de notre santé a ainsi changé. Elle se divise essentiellement en séquences, plus précisément en « sprints ».

Le premier « sprint » est celui du temps nécessaire afin de tout mettre en œuvre pour établir le diagnostic de votre problème de santé. Il est essentiel. Il commence par votre écoute, puis un examen clinique approfondi. Il doit, par l’attention que nous y portons, permettre déjà d’évoquer une hypothèse diagnostic qui va orienter les explorations paracliniques complémentaires.

Elles vont confirmer et étayer ce diagnostic clinique. Il faut alors savoir utiliser à bon escient cette imagerie médicale moderne (échographie, doppler, radiographie, scanner, arthroscanner, IRM, scintigraphie, angio-IRM et pet scan, etc…) mais aussi les nouveaux tests fonctionnels tels l’isocinétisme, la laximétrie dynamique automatisée, les mesures statiques et dynamiques d’appuis… la biologie et tous les nouveaux marqueurs.

Il est de notre engagement de tout mettre en œuvre pour rendre cette séquence-là plus courte possible, en actionnant notre réactivité qui déclenche et fédère celle de tous les praticiens concernés, pour poser ce diagnostic initial fondamental. Nous pouvons alors seulement passer à la deuxième séquence. Ce second « sprint » concerne la prise en charge thérapeutique.

C’est tout naturellement pour répondre aux problématiques posées. Nous avons voulu, pour cela, une unité de lieu et une unité de temps pour réunir des praticiens aux compétences médicales, chirurgicales et paramédicales essentielles et complémentaires afin de maximaliser la qualité des soins.


Cette plateforme « d’intelligence collective » favorise cette démarche, adossée à une technologie de pointe. Le meilleur moyen pour progresser est aussi de créer les conditions d’exercice où chacun sait ce que fait l’autre et apprend de lui au bénéfice du patient.

Il faut ainsi procéder par des séquences de travail courtes, à échelle humaine, en moyenne de trois semaines, parfois plus courtes, ou plus longues si nécessaire. Ce sont ces fameux autres « sprints ». Cette unité de temps permet de mieux contrôler ce que l’on fait, de l’évaluer régulièrement, et de recadrer si nécessaire le protocole de soins, qui est particulier à chaque personne. L’objectif est de mettre tous les moyens et la structure nécessaire qui va avec, pour se rapprocher du résultat que nous avons fixé ensemble dans un temps donné.

Notre autre grand combat est aussi celui de la prévention. Celle des blessures rencontrées dans la pratique du sport qui se généralise, nécessaire aujourd’hui à l’équilibre de tout individu.

Le sport n’a jamais été aussi proche du concept de santé à notre époque, avec une attention extrême pour contrôler ses excés.

Mais aussi prévenir des pathologies cardio-vasculaires, respiratoires, métaboliques, ostéo-articulaires, neuro-psychiques, neuro-dégénératrices, cancéreuses… générées, pour une grande part, par le mode de vie du XXIᵉ siècle qui bénéficient de cette hygiène de vie essentielle, diététique et exercice physique.

Le lieu exprime aussi le modèle organisationnel de toute entreprise humaine. Depuis la création de Présport & Santé en 2003, nous l’avons voulu ouvert, libre, interactif et convivial avec de petites équipes soudées qui valorisent le travail des autres et créent ainsi un climat de confiance nécessaire à toute réussite pour surmonter une épreuve. Ce lieu est l’expression de notre volonté de nous confronter, de se transformer s’il le faut, et de vouloir évoluer et innover ensemble.

Ne laissez personne sur la touche. Il s’agit d’une pause utile, saine et protectrice dans ce monde accéléré, bouleversé.


Transparence, rapidité et agilité, transversalité sont les caractéristiques dominantes de ce monde qui nait sous nos yeux. C’est de l’association de personnes et d’idées que viennent le dynamisme de rupture et d’innovation du XXIᵉ siècle.*

Cependant, l’humanisme en médecine n’a jamais été aussi essentiel, car menacé. Cet humanisme, auquel nous sommes profondément attachés, transmis par nos maîtres de l’école de Médecine, est le seul contre-pouvoir au développement technologique exponentiel, qui pourrait rendre la médecine inhumaine, car uniquement technique.

Le robot aujourd’hui copie, précise et parfois améliore le geste humain, mais il ne remplacera pas l’âme, l’empathie, l’intuition, l’art, même si certains veulent nous faire croire le contraire. Il vaut mieux l’original, que la copie informatisée !

La technologie la plus exceptionnelle ne doit pas détourner la médecine de son essence même :

• écouter, aider, guérir
• elle est aussi échangée et équilibre

La médecine est à ce carrefour. Ses acteurs doivent être vigilants et être prêts à maîtriser cet extraordinaire outil technologique avec toujours à l’esprit des valeurs qui ne se négocient pas : l’éthique, l’égalité des chances et l’espoir, les 3 « e », nos « œufs ».

Notre action se veut être au service de cet extraordinaire corps humain et ainsi à l’une de ses productions, la liberté.

Christian FOURNOLS

Notre essence même : 
écouter, aider, soulager

Une équipe de praticiens diplômés qui
œuvrent dans un esprit de partage

Haute expertise grâce à des
techniques modernes et innovantes

Notre philisophie : Transparence,
rapidité et agilité